- EAN13
- 9782757897140
- ISBN
- 978-2-7578-9714-0
- Éditeur
- Points
- Date de publication
- 03/03/2023
- Collection
- Points Littérature (1)
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 17,7 x 10,9 x 2,8 cm
- Poids
- 106 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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-
8.40
"Sur les parois et les murs verdissait le lierre, verdissait
Une ombre bienfaisante de hautes allées. Souvent,
Au soir, au matin, nous étions là,
Disant mainte chose et nous regardant plein de joie."
Ce recueil rassemble les deniers poèmes écrits par Hölderlin. La langue, aussi bien que les thèmes – les saisons, le temps qui passe – procurent pourtant une forte impression de simplicité et de limpidité. Ce sont les accents, les intonations, le timbre et le phrasé même d’une voix qui portent les traits singuliers d’un lyrisme extrême.
« J’ouvre Hölderlin. Je lis, je relis et je suis envahi d’une stupeur immense. Soudain le monde, qui me paraissait voué à une fermeture définitive, se déploie. »
Philippe Sollers
Friedrich Hölderlin est né en Allemagne en 1770. D'un caractère sensible, tourmenté et mystique, il s'oriente très tôt vers la poésie. Il passe la seconde moitié de sa vie reclus dans « la tour de Tübingen », où il écrit ses Derniers poèmes. Il meurt en 1843.
Nouvelle traduction de l'allemand et présentation par Jean-Pierre Burgart
Édition bilingue
Une ombre bienfaisante de hautes allées. Souvent,
Au soir, au matin, nous étions là,
Disant mainte chose et nous regardant plein de joie."
Ce recueil rassemble les deniers poèmes écrits par Hölderlin. La langue, aussi bien que les thèmes – les saisons, le temps qui passe – procurent pourtant une forte impression de simplicité et de limpidité. Ce sont les accents, les intonations, le timbre et le phrasé même d’une voix qui portent les traits singuliers d’un lyrisme extrême.
« J’ouvre Hölderlin. Je lis, je relis et je suis envahi d’une stupeur immense. Soudain le monde, qui me paraissait voué à une fermeture définitive, se déploie. »
Philippe Sollers
Friedrich Hölderlin est né en Allemagne en 1770. D'un caractère sensible, tourmenté et mystique, il s'oriente très tôt vers la poésie. Il passe la seconde moitié de sa vie reclus dans « la tour de Tübingen », où il écrit ses Derniers poèmes. Il meurt en 1843.
Nouvelle traduction de l'allemand et présentation par Jean-Pierre Burgart
Édition bilingue
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