- EAN13
- 9782746524002
- Éditeur
- Editions Le Pommier
- Date de publication
- 15/09/2021
- Collection
- Hors collection
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Cet ours qui va et vient aux limites de son enclos vous semble déprimé ? Votre
chat, qui s’acharne furieusement à déchirer tous les coussins, et votre chien,
qui tente obstinément d’attraper sa queue sans raison, sont-ils devenus fous ?
Autant de suppositions qui ne sont pas sans fondement : la folie, comme le
plaisir et la souffrance, n’est pas le propre de l’homme. On le sait désormais
: les animaux disposent de compétences proches des nôtres, fût-ce à un degré
différent. Il n’y a donc aucune raison de croire qu’ils ne peuvent être sujets
au dérèglement. Parfois, leurs folies ressemblent aux nôtres ; parfois, elles
leur sont spécifiques. Parfois même, nous sommes la cause de leurs tourments
(car il n’est pas toujours bon de fréquenter l’espèce humaine !). Mais au
juste, qu’est-ce que la « folie » ? Michel Kreutzer ouvre ici le grand livre
de la zoopsychiatrie. Où l’on verra que, pas plus chez l’homme que chez
l’animal, il n’y a de solution de continuité entre le normal et le
pathologique…
chat, qui s’acharne furieusement à déchirer tous les coussins, et votre chien,
qui tente obstinément d’attraper sa queue sans raison, sont-ils devenus fous ?
Autant de suppositions qui ne sont pas sans fondement : la folie, comme le
plaisir et la souffrance, n’est pas le propre de l’homme. On le sait désormais
: les animaux disposent de compétences proches des nôtres, fût-ce à un degré
différent. Il n’y a donc aucune raison de croire qu’ils ne peuvent être sujets
au dérèglement. Parfois, leurs folies ressemblent aux nôtres ; parfois, elles
leur sont spécifiques. Parfois même, nous sommes la cause de leurs tourments
(car il n’est pas toujours bon de fréquenter l’espèce humaine !). Mais au
juste, qu’est-ce que la « folie » ? Michel Kreutzer ouvre ici le grand livre
de la zoopsychiatrie. Où l’on verra que, pas plus chez l’homme que chez
l’animal, il n’y a de solution de continuité entre le normal et le
pathologique…
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