- EAN13
- 9782072245312
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 09/04/2020
- Collection
- Blanche
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Gallimard 11,45
Un jeune soldat – le narrateur, il y a plus de quarante ans – vit avec ses
camarades une nuit de peur et de prémonition, au fond d'une casemate. Le
voici, un peu plus tard, voguant, en pleine guerre, vers la Norvège, à bord
d'un bateau ralenti par une bien singulière avarie... Puis le récit – cinq
nouvelles, dont chacune se referme sur elle-même – nous transporte dans un
pays de fiction qui se substitue ou se superpose providentiellement à la
Normandie, au moment où l'armée allemande y déferle. Fait prisonnier, notre
jeune soldat va se trouver en présence, de l'autre côté du Rhin, du 'père des
tonneaux', personnage semi-imaginaire dans lequel, déjà, l'Allemagne se
rachète. On la retrouvera, également humanisée, dans le personnage d'une
'doyenne' mourante ou déjà morte que notre jeune 'héros' promène dans une
ville en flammes, au milieu de l'Armée rouge fêtant, à grand renfort de vodka,
sa victoire et la fête du 1er Mai. La guerre a bien des visages...
camarades une nuit de peur et de prémonition, au fond d'une casemate. Le
voici, un peu plus tard, voguant, en pleine guerre, vers la Norvège, à bord
d'un bateau ralenti par une bien singulière avarie... Puis le récit – cinq
nouvelles, dont chacune se referme sur elle-même – nous transporte dans un
pays de fiction qui se substitue ou se superpose providentiellement à la
Normandie, au moment où l'armée allemande y déferle. Fait prisonnier, notre
jeune soldat va se trouver en présence, de l'autre côté du Rhin, du 'père des
tonneaux', personnage semi-imaginaire dans lequel, déjà, l'Allemagne se
rachète. On la retrouvera, également humanisée, dans le personnage d'une
'doyenne' mourante ou déjà morte que notre jeune 'héros' promène dans une
ville en flammes, au milieu de l'Armée rouge fêtant, à grand renfort de vodka,
sa victoire et la fête du 1er Mai. La guerre a bien des visages...
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